Mercredi 12 novembre, plusieurs salariés d’Eurovia Niort ont cessé le travail à l’appel de la CGT pour dénoncer le licenciement d’un conducteur d’engin, élu au CSE, après une altercation avec son chef de chantier survenue en juillet à Avon. Le syndicat dénonce un « comportement toxique » de ce supérieur et une sanction jugée inéquitable, celui-ci n’ayant écopé que de trois jours de mise à pied. La CGT demande la réintégration du salarié licencié. Une rencontre avec la direction régionale Limousin Poitou-Charentes n’a pas permis de débloquer la situation.
La Nouvelle République, édition des Deux-Sèvres, 12/11/2025, en ligne.
